Nous voilà de retour obligatoire à La Paz, pour la dernière fois ! Heureusement parce qu'on y a laissé quelques plumes (par plumes comprendre thunes!). Oh nous revoilà avec des maillots de foot !!!! Je crois que la vendeuse nous aime bien (tu m'étonnes!).


C'est devant la capitale illuminée que nous prenons un bus de nuit direction Cochabamba !

Arrivée à 5h du mat (ça pique!) et 2h d'attente dans la gare (tout le monde dit que les abords de la gare la nuit, ça craint...) pour attendre le petit jour. On est tous fatigués, mais les loulous assurent ! Mais attention, faut pas croire qu’une gare de bus en Bolivie à 5h du mat c’est calme, non non, non ! Il y a déjà les employées de vente de billet qui hurlent leurs destinations dans tous les sens ! Ça réveille !


Cochabamba, ça n'était pas dans les plans de départ, on le fait au feeling !

Située dans une vallée fertile à plus de 2 500 m d'altitude, la ville jouit d'un climat tempéré, qui est même qualifié de «printemps éternel ».

Le nom de la ville provient du quechua Qocha Pampa qu'on peut traduire par « marécage » (qocha signifie « étendue d'eau » et pampa « plaine »). C'était à l'origine le nom du quartier insalubre où vivait la population purement quechuaphone, par opposition à la ville hispanique elle-même, alors appelée « Oropesa ».


Après avoir trouvé un hôtel (sur les conseils de Victor et Emilie!) au calme (est-on encore dans une ville bolivienne???), nous partons à l'assaut du Cristo de la Concordia ! Enfin bon, en mode flemmard....en téléphérique ! Ce Christ est un poil plus haut que celui de Rio, c'est le plus grand d'Amérique du Sud et le troisième au monde !

Je ne sais pas si c'était l'effet Rio, la vue ou la foule au pied mais, à l'unanimité, le Christ de Rio est bien plus impressionnant !

La vue sur la ville et les montagnes alentours vaut tout de même le coup !

S'en suit un petit tour au marché où pour la première fois tout fait envie : les légumes, les fruits et même la viande ! On dévalise les étals pour se faire à manger ! Le poulet frit-frites ça suffit !

On revient vers le centre ville (ça y est c'est sûr nous sommes de retour en Bolivie, c'est l'agitation après le calme de notre quartier!) et la place 14 de septiembre. Encore une place aux pigeons, décidément ! Mais cette fois, on se s'attarde pas car des dames demandent (plus ou moins...) gentiment aux enfants de ne pas courir après les pigeons pour qu'ils s'envolent ! Va faire comprendre ça à nos enfants !!! On préfère s'en aller !

Un centre ville frénétique contrebalancé par un super hôtel un peu à l'écart nous font apprécier cette étape !